Ma très chère,
Il faut qu’incessamment je vous conte cela. C’est l’extravagance la plus folle, la plus dénuée de sens qui survint jamais dans cette bourgade dont vous me gardez grief de l’affectionner sous prétexte qu’elle m’écarterait de votre tendresse. Oyez donc cette histoire - et veuillez croire que je n’invente rien ! – qui, par cette douce soirée de juillet, met encore le branle dans notre petite communauté. Vous connaissez Antoine ? Mais si, souvenez-vous, l’Antoine à Sidonie Bergeat. Un (...)