À François et Véronique Pour fêter nos trente ans de mariage, notre fille Véronique et François son mari, nous offrirent un bonzaï. L’intention était charmante et symbolique : ce bonzaï avait germé l’année de notre rencontre, sa durée serait pour notre couple le gage de longues années paisibles et heureuses. Les coutumes des Japonais me sont plutôt étrangères. Quand je les vois torturer des arbres normaux pour les contraindre à ne prendre que quelques centimètres tous les cent ans, je me demande si leur (...)