– Monsieur de Toulouse-Lautrec, accepteriez vous de m’accorder cette danse ? C’est comme ça qu’on dit chez toi. Non ? Arrête de t’moquer, tu n’crois pas qu’j’en supporte assez ! Comment veux-tu que j’danse avec ces jambes atrophiées ? La jeune femme est surprise, elle n’a jamais entendu Lautrec se plaindre. Malheureux ? Pas lui, impossible ! Il est toujours en train de rire. Il s’en fout bien de son corps. Néanmoins cette réponse la touche. J’te promets qu’tu peux. T’arrêtes pas d’nous dessiner, d’nous (...)