Entrer au jardin,
s’en amouracher…
Écrire et photographier la vie du jardin, l’humeur du liseron, le rire de la pâquerette, le midi du basilic, l’orange des tomates, les disputes ou les connivences, au jour le jour, comme la vie qui se déroule entre amoureux. Regarder l’abeille des bois et la limace, la boîte à mésanges, le moineau criard, l’hirondelle de passage. Déguster le lierre rampant, la doucette, l’ache, la courgette et la verveine citronnelle. Partager les pieds de multiples tomates anciennes avec des amis. Séduire de belles inconnues glanées au fil des promenades. Soigner la fleur de porcelaine et l’épidendrum. Discuter avec chacun et chacune pour que les guerres ne dégénèrent pas…
…s’y maintenir
Il y a trente-cinq ans, j’ai pris le jardin à bras le cœur ! Il n’est pas très grand puisque notre « propriété » fait 350 mètres carrés ! Mais il est riche de présences parfumées, de souvenirs colorés, d’expériences gagnées ou perdues. Depuis onze ans, il y a une petite serre de deux mètres sur trois, de quoi faire des merveilles ; dans la cave, une réserve d’eau de pluie…
Devant, sans barrière ni clôture, c’est le règne des bulbes et des vivaces, d’un peu de rocaille et de foisonnements divers. Un hérisson y a dormi un hiver au creux d’une touffe d’euphorbes et de gauras, dans un nid de mousse et d’herbes chaudes !
Sur le côté, derrière un portillon symbolique, une bande de trois mètres de large avec une haie, un chemin et une plate-bande de plus d’un mètre de large le long du mur de la maison, bien ensoleillée.
Derrière : LE jardin. Des haies tout autour, un gros cerisier sauvage aux fruits légèrement acides et les deux cents mètres carrés de fouillis que j’aime et qui m’aiment !
Au fond, au-delà d’un portillon symbolique, le compost, un peu en dehors du jardin proprement dit.
ISBN : 978-2-9528760-1-8
Prix 25€ TTC